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Discographie

Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique

L’œuvre phare de cet enregistrement est sans conteste la transcription que Jean-Willy Kunz a réalisée du Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns pour l’inauguration du Grand Orgue Pierre-Béique de la Maison symphonique en 2014. Sa transcription démontre que l’orgue est aussi capable d’évoquer les textures et les riches couleurs d’un orchestre.
Pour Jean-Willy Kunz, organiste en résidence à l’Orchestre symphonique de Montréal, il était tout naturel de concevoir un programme musical de compositeurs issus de sa France natale, tels que Jehan Alain, Charles-Marie Widor, Marcel Dupré et Louis Vierne, alors que l’œuvre du Québécois Maxime Goulet lui donne une touche contemporaine. Les œuvres de ce programme français sont jumelées à la célèbre Toccate et fugue en ré mineur de Jean-Sébastien Bach.

- ATMA

Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique de l'Orchestre symphonique de Montréal à la Maison symphonique

Impressions

Impressions présente une facette inusitée du Grand Orgue Pierre-Béique de la Maison symphonique de Montréal. L’organiste Jean-Willy Kunz s’est entouré d’amis-musiciens issus des milieux de la musique classique, contemporaine, pop et jazz pour un voyage musical autour du monde, à la découverte d’un répertoire original et varié aux couleurs du jazz. De Petite fleur de Sidney Bechet en passant par Impressions de John Coltrane et Fly Me to the Moon, vous découvrirez l’orgue comme jamais vous ne l’avez entendu auparavant!
- ATMA

Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique de l'Orchestre symphonique de Montréal à la Maison symphonique

The Pipes are Calling

Trombone solo de l’Orchestre symphonique de Montréal, James Box présente son premier album solo, qui comprend un programme musical qui s’étend sur 300 ans, en compagnie de Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique de la Maison symphonique de Montréal.
- ATMA

Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique de l'Orchestre symphonique de Montréal à la Maison symphonique

Amazing Grace

Animée par son amour du « spiritual » et des chansons traditionnelles de la nativité, Marie-Josée Lord emprunte les voies de la spiritualité pour son tout premier album de Noël. Entourée de l’Ensemble vocal Épiphanie, elle interprète notamment quelques Gospels bien connus dont Amazing Grace et Couldn’t hear nobody pray. Accompagnée par Jean-Willy Kunz à l’orgue de l’Église Saint-Jean-Baptiste de Montréal et du violoniste Antoine Bareil, Marie-Josée Lord chante également des classiques du temps de Noël comme l’Ave Maria de Bach-Gounod, le Minuit, Chrétiens ! d’Adolphe Adam, de même que Noël Blanc, popularisé par Bing Crosby.
- ATMA

Jean-Willy Kunz à l'orgue Casavant op. 615 de l'église Saint-Jean-Baptiste de Montréal

Théodore Dubois - Deux messes

Dans l’armoire aux trésors de la famille Dubois, le baryton Marc Boucher découvre en 2005 l’ensemble du corpus des mélodies de Théodore Dubois. En partageant ses découvertes avec Michel Brousseau, celui-ci décide d’aller à son tour visiter la famille pour plonger dans les partitions de ce compositeur resté trop longtemps inconnu. Michel Brousseau rapportera avec lui des œuvres chorales telles que la Messe de la Délivrance (1919) et la Messe solennelle de saint Remi (1900) afin de partager cette musique extraordinaire avec les choristes qu’il dirige.
En mai 2008, Michel Brousseau fait connaître, la Messe solennelle de saint Remi en première mondiale nord-américaine. En 2009, c’est la Messe de la Délivrance qui a été proposée au public québécois lors de quatre concerts programmés à Montréal, Sainte-Thérèse, Ottawa et Tremblant. Ces deux messes sont maintenant présentées sur ce nouveau disque ATMA.
- ATMA

Jean-Willy Kunz à l'orgue Casavant op. 615 de l'église Saint-Jean-Baptiste de Montréal

Symphonies et créations pour orgue et orchestre

Dans A Globe Itself Infolding, l'orgue est d'abord traité comme unité indépendante, jusqu'à ce que, après une courte cadence, il se retrouve progressivement intégré à l'orchestre et se fonde dans son tissu jusqu'à la fin. Si l'écriture se veut idiomatique et tombe parfaitement sous les doigts de Jean-Willy Kunz, Samy Moussa admet avoir traité l'oeuvre plutôt comme un mouvement de concerto pour piano. L'orgue donne toutes les impulsions de la pièce, mais le compositeur a conféré une certaine ambiguïté à sa palette : on se demande en effet par moments si la couleur de l'orgue se mêle à celle de l'orchestre ou si c'est plutôt l'orchestre qui colore l'orgue, le titre de l'oeuvre, une citation de William Blake et du Tanakh, prenant ici tout son sens.
Samy Moussa a fait le choix d'une partition claire, très annotée, qui ne susciterait pas de questionnement au niveau du jeu, mais laisserait une grande liberté interprétative. Il avait surtout envie d'écrire une pièce qui pourrait être intégrée au répertoire après sa première et qui pourrait bien devenir le premier mouvement d'un concerto pour orgue de plus larges proportions.

- Analekta

Jean-Willy Kunz au Grand Orgue Pierre-Béique de l'Orchestre symphonique de Montréal à la Maison symphonique
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